
Dans quelques mois, je pars en retraite et je n’aurai pas de successeur. Je laisserai ma patientèle aux rares médecins encore présents sur mon secteur, qui eux aussi sont en fin de carrière. Je pars triste de cette situation car j’ai le sentiment d’abandonner sans alternative les patients qui m’ont fait confiance au cours de toutes ces années. Je suis triste aussi car j’aime mon métier et je m’interroge sur les freins qu’ont les jeunes médecins à sauter le pas de l’installation. Même si ce...
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